(suite)

Vérification
S' il existait réellement une "double ellipse" entre la chambre de la reine et la chambre souterraine (les "ellipses" BP' et P ou BP' et S), ainsi qu' entre cette chambre royale et le sommet de Khéops, alors et virtuellement, elles devraient se retrouver dans les maquettes royales de la Grande pyramide (des planchers de ces logements jusqu' à leurs faîtages).

Effectivement, la "double ellipse" sud que figurerait les chambres du roi, se constituerait de l' "ellipse" de la grande galerie (G) et de celle des chambres de décharge (D), comme alignées et justifiées en retour. Parce que dans cette maquette de Khéops, la pièce du "roi" qui imagerait la salle souterraine au plancher bas, ferait l' "ellipse" avec la pièce Davison qui évoquerait celle de la reine (l' "ellipse" de la grande galerie G), mais cette dernière serait finalement "zappée" par l' "ellipse" des cellules de décharge (D), entre elle et la chambre Campbell, à l' image du comble de Khéops ou le palier.

De plus, dans l' autre sens et pour maintenir vraie cette vérification, la "double ellipse" qui irait du "logement de la reine" jusqu' à la "salle souterraine" (leurs images dans les chambres du roi), imposerait la "présence" de l' "ellipse" souterraine (S), qui partagerait la demi-chambre du roi ouest. Or, celle-ci semble désespérément vide (selon la théorie de Lheureux et Martin, le sarcophage qui est visible dans cette demi-chambre, se glisserait dans son couloir d' accès).

Il n' en serait pratiquement rien, de l' est vers l' ouest:
- la surface de cette chambre est dallée en bloc ;
- ce dallage est regroupé en six parties aliquotes ;
- une "plinthe" d' extrémité alterne dans la largeur ;
- la troisième zone tient cinq marches, comme cinq dalles ;
- seul deux "plinthes" sont divisées en deux parties égales ;
- par sa zone répétée après, l' une évoquerait une demi-largeur ;
- et la dernière de la troisième bande, bornerait une demi-longueur.

Si toutes les parties de ce dallage étaient regroupées par paire de bandes, comme les dalles d' extrémité alternées nous y inviteraient, il viendrait trois zones de double largeur qui se composeraient de sept, huit et cinq blocs, de l' est vers l' ouest et dualement (troisième bande à cinq dalles répétée).

Cette image de l' "ellipse" souterraine se vérifierait enfin, parce que la plus longue de toutes les pierres qui couvre le plancher de la chambre du roi, "plinthes" comprises, ponctue et définit l' "ellipse" de la double bande des cinq blocs: en travers de la demi-chambre ouest (de la troisième zone la plus large à la sixième exiguë).

Plus, au carré est du demi-plancher de la chambre du roi irait la première "ellipse": celle de la troisième rangée qui s' inscrirait dans la largeur; et dans le second carré ouest se logerait dans une largeur doublée (prolongée), celle qui lui serait circonscrite. Un modèle pyramidal émergerait alors, où la demi-chambre est serait la "base" et celle de l' ouest son "sommet" car, dans ce carré est se trouve l' unique dalle carrée dans la plus large bande (la "marche originale"), et qu' une hauteur se devinerait en suivant ce différentiel vers la rangée la plus fine: d' "ellipse", en "ellipse" en "second".

Enfin, l' existence des "doubles ellipses" dans la maquette de Khéops des chambres du roi, se vérifierait aussi avec celles qu' il y aurait dans la chambre de la reine, à condition d' y retrouver une à une les trois "ellipses" royales:

- la proportion "dorée" de la porte d' entrée évoquerait l' "ellipse" "G" intermédiaire ;
- à l' "ellipse" "D" irait celle de la niche "N" (du plancher jusqu' au comble de "la reine") ;
- les cinq dalles centrales du pavement copieraient celles de la chambre du roi (pseudo "ellipse S").

Mieux, afin de figurer les douze signes du zodiaque, qui seraient ventilés sur les dalles périmétriques de cette chambre, et que douze "assiettes" disposées à l' identique vérifieraient par dualité, dans la fouille réalisée par Vyse au pied de l' "ellispe" de la niche s' emboiteraient deux blocs, donc l' image de deux signes zodiacaux ou, a priori, deux "ellipses".

Effectivement, depuis ce logement au possible ratio du nombre d' or évocateur d' "ellipse diluvienne" (angle de pente de Khéops, phi, rampe interne), et selon la spirale d' un sens antihoraire, il viendrait les blocs des "ellipses" du plancher de la chambre du roi, à la queue leu-leu, d' une double "base" comme "pi" vers un double "sommet" comme "phi" (voir schéma).

Parce que le double élargissement du long bloc du dallage de la chambre du roi, image d' une double hauteur, se conditionnerait au ratio du nombre d' or et s' emboite au pied de la niche, dans la fosse comblée de l' infortuné Vyse, d' une part. Quant à la double base "originale" de ce double modèle pyramidal, d' autre part, leurs carrés se côtoient comme allant de soi, à l' autre extrémité de ces "ellipses diluviennes". Un double à l' objet "S" se révèlerait.

Plus encore, si les chambres royales étaient des maquettes de la Grande pyramide, si la règle de la dualité servait aussi à percevoir par sécurité ce qui serait éclipsé ou absent, et puisque quatre cellules de décharge se cachaient au dessus de la chambre Davison avouée, alors d' une manière ou d' une autre, quelque chose dans la salle de la reine devrait les indiquer, parce que le volume intérieur de ce modèle de Khéops apparaîtrait en entier: depuis un plancher bas "souterrain" jusqu' à son comble "secret".

Effectivement, une proportion se forme entre les mesures des hauteurs d' assises de l' appareil du mur est du logement de la reine et celles des plafonds des chambres du roi (calpinage vertical), en raison directe de la racine carrée de quatorze (coefficient de proportionnalité).

De plus, lorsque le plancher de la chambre royale reste normalement haut, la disparition de cette régularité révèlerait la nécessité d' un plancher bas virtuel, comme celui qui est visible dans le couloir d' accès à la chambre de la reine (52,5cm), et elle renforcerait les théories des modèles de Khéops "royaux" (proportionnalité), du Mécanisme secret (plancher escamotable) et d' une mise en garde (son allégorie).

Enfin, la porte d' entrée de la chambre de la reine, élevée sur la mesure des deux premières assises et proportionnée au nombre d' or (1,705÷1,06=1,608 ou 99,4% de 1,618), imagerait bien l' "ellipse" de la grande galerie, entre des planchers bas et des plafonds royaux objets (la hauteur de la deuxième assise depuis le dallage de "la reine", est proportionnelle à celle qu' il y a entre le sol descendu et le plafond du "roi", soit en images: des planchers bas de la demi-chambre souterraine est à celui de la reine).

Une marche de plus, si les cinq briques qui composent les assises des murs de la pièce du roi symbolisaient une "ellipse", alors, à la plinthe première s' associerait la "marche originale" d' un carré, et à leur sommet irait la hauteur d' une longue dalle. Effectivement, le plancher de la chambre du roi étant de rapport un demi, à chacune de ses moitiés va un carré prolongeant la première pierre, et leur cinquième brique est une panneresse (bloc en "longueur").

En outre, la grandeur de la pièce se retrouvant par deux fois dans la diagonale de ce plancher, elles vérifieraient qu' une double hauteur s' unirait avec une double base et qu' ensemble elles imageraient une double "ellipse". Enfin, cette mise en scène se reproduit dans la chambre de la reine, sur la paroi est, parce que l' "ellipse" de la niche à cinq encorbellements se pose sur le "carré" d' un "mécanisme diluvien" grandi d' une coudée (ou d' une "marche"), et s' achemine là encore vers deux panneresses.

Un dernier palier. L' exception du bloc de la cinquième rangée, logé dans le coin sud à la verticale du "bloc-bouton" et posé en "largeur" (une boutisse), s' étendrait sur deux épaisseurs de poutre. Cette disposition reconnaîtrait deux "ellipses" à ces longerons ou deux "hauteurs", comme le gros linteau du mur nord qui s' aligne deux assises plus loin le suggérerait car, le quotient des mesures de ses longueurs, qui seraient analogues à celles de la boutisse, évoquerait celui d' un carré de côté "phi²", allongé par ce demi et en raison inverse de "1,1" (3,11÷2,38=1,307 ou 99,8% de PHI²÷2=1,309 et phi²÷1,1=2,38 ou 100% de 2,38m), tandis que la mesure de son aire imagerait la double "hauteur", ou diagonales, d' un de ces petits carrés (3,11×2,38=7,402m² ou 100% de 2×√2×phi²=7,405 ou (√2×2,38×1,1)×2=7,405m). Onze doubles panneresses coiffent ce comble royal.

De plus, ces hautes panneresses sont de trois longueurs différentes car, lorsque celle de la boutisse rallonge celle de la petite panneresse en faîte du mur sud, elles n' en formeraient qu' une seule: largeur du local, petite et grande longueur. Outre l' évocation de trois "marches" dans ce local, soit les dénivelés des "mécanismes diluviens" n°2 et n°3 (un double), ces "accidents" seraient directement proportionnels entre-eux, selon le coefficient "1,1" et en suivant un ordre croissant.

Enfin, il y aurait mis en scène dans les plafonds des chambres du roi, autant d' "ellipses" évoquées que de poutres étagées sur la hauteur des cinq cellules de décharge: ou l' atroce représentation de nombreux cycles de destruction à la queue leu-leu, qui se succèderaient d' échelon en échelon et qui culmineraient finalement en comble, ou y prendraient leur source.

(à suivre...)