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Vérifications des chronologies
La "chronologie des systèmes" indiquerait que les conduits d' aération de la chambre de la reine seraient, de leur tympan jusqu' à leurs portes (de Gantenbrink ou d' Hawass), les seules zones architecturales d' âge anté-antédiluvien ("avant-hier" ou de temps "-2").

De plus, les "chronologies diluviennes" nous informeraient que l' ère "pseudo diluvienne" du Bélier serait divisée virtuellement en deux zones d' époques imaginaires différentes: l' ère diluvienne du Bélier (en rouge foncé et d' une durée de 6 480 ans et de temps "-2") qui serait précédée par l' ère prédiluvienne du Lion (en orange foncé et d' une durée de 2 160 ans et de temps"-2").

Enfin, le sens du temps dans ce tuyau irait d' "avant-hier" vers "hier" soit, du haut du conduit vers la chambre de la reine d' en bas (d' âge antédiluvien ou "hier" ou de temps "-1").

Or, si ces conduits d' aération respectaient et visualisaient cette chronologie diluvienne, ils devraient au minimum:
- être divisées en deux parties ;
- avoir cette première nettement plus petite que la seconde ;
- et leur séparation apparente ne serait pas chronologique.

Effectivement, les robots Upuaut (Gantenbrink 1992-1993) et Djedi (2010) d' exploration des conduits d' aération royaux indiquent:
- que derrière la porte de Gantenbrink, une petite chambre fermée divise ce conduit en deux parties ;
- que cette chambre d' Hawass, d' une vingtaine de centimètres de long, est située en amont de ce conduit d' âge "avant-hier", et long de plusieurs dizaines de mètres en aval (là où se situe la chambre de la reine d' âge relatif futur "hier") ;
- que le coin inférieur droit de cette porte de Gantenbrink, qui est chanfreiné sur toute sa profondeur (épaisseur), permet une communication entre ces deux zones, faible mais réelle ;
- enfin, que le chant supérieur de la porte nord d' Hawass est potentiellement communiquant, puisqu' il est chanfreiné sur toutes ses largeur et épaisseur.

Plus, la présence du couloir horizontal secret en amont de la chambre de la reine, s' imagerait architecturalement par le boyau au sud de la chambre souterraine, qui rejouerait selon un second ordre (k=1,576), cette chambre royale avec ses bras horizontaux. Or, l' allégorie de la longueur de ce cul-de-sac, comme doublant proportionnellement le côté d' un carré de mécanisme royal, confirmerait un âge double à son original muni d' une ellipse (le couloir horizontal secret): celui des ères "prédiluvienne du Lion" et "diluvienne du Bélier", soit l' ère "pseudo diluvienne du Bélier" avec un double "accident".

Cela parce qu' un double cataclysme s' associerait à une époque (comme l' âge du mécanisme double de la chambre du roi), d' une part, et parce que cette pseudo ère du Bélier, d' autre part, précéderait selon les Chronologies diluviennes le déluge n°1 (en vert foncé), que les planchers bas de la chambre de la reine et de la demi-chambre souterraine est montreraient actionné, tandis que la marche descendante dans le corridor sud le confirmerait vierge (le couloir horizontal secret), quelques mètres et deux nombres d' or en amont de la porte dérobée (5,50m=11m÷2).

Mieux, l' attribution du demi-rayon polaire "RP2", rendrait le conduit d' aération sud de la chambre du roi non débouchant en façade. De cette manière le boulet de diorite (voir chapitre Mécanismes diluviens), en tant que "signe zodiacal dual" (voir chapitre Dualités), serait séparé de la chambre royal d' âge "aujourd'hui" par les isolants temporels de la plaque de fer et du tympan de son embouchure: son âge d' "avant-hier" serait ainsi vérifié (voir chapitre Chronologie des systèmes).

De plus, l' hypothèse de la figuration d' une minuterie à tympan par la chambre Gantenbrink, située trois demi-mètres en aval du bloc n°25, soit la longueur du bloc n°24 ("plaque" comprise), serait justifiée par la présence duale du projectile, la découverte de la plaque de fer dans ce conduit sud, ainsi que par la suggestion de leur mise en scène (chambre d' Hawass, boulet de diorite et tympan de l' embouchure), visible dans le conduit d' aération nord de la chambre de la reine.

Enfin, les "chronologies diluviennes" s' en trouveraient renforcées, parce qu' elles nous informeraient de l' existence d' un triple "accident": depuis l' ère d' "avant-hier" incluse, jusqu' au temps d' "aujourd'hui" (voir chapitre Chronologies diluviennes). Or, la mesure métrique d' une coudée "inversée" du bloc n°25 du conduit sud de la chambre du roi, qui s' étirerait le long des temps d' "avant-hier" et d' "hier" (deux "accidents" pour l' un et un pour le second), ne figurerait rien d' autre qu' une triple "antimarche" (1,91=1÷0,5235 et 0,5235=π÷6 donc 1,91=6÷π=3×2÷π), soit un "anti-accident" triple, qui ferait écho aux trois blocs bouchons visibles dans la Grande pyramide, tous ouverts et en suspens.

Remarques
Les chambres d' Hawass et de Gantenbrink, qui concluent les conduits d' aération de la chambre de la reine, évoqueraient la présence d' une troisième chambre de fermeture, que la "règle de la dualité" suggérerait sous une autre forme (les chambres de Gantenbrink et d' Hawass faisant déjà la paire), elle se nicherait à l' extrémité supérieure du conduit sud de la chambre du roi; contrairement au conduit nord qui, selon le raisonnement sur les "rayons polaires", déboucherait en façade.

L' "antimarche originale" de l' "ellipse de la vie" du boyau-puits prolongé (BP' et sa première marche descendante), qui ferait la dualité avec l' ellipse morbide de la rampe interne (R), pointerait dans la direction de la chambre secrète "nord", les profondeurs terrestres du plateau calcaire de Gizeh; à l' image de la lecture en duo du système allégorique qui refluerait la mort, dans le couloir descendant de "la vie" et à l' ère d' "aujourd'hui" (voir schéma Vérifications systèmes allégoriques descenderie 3-3).

Le symétrique de "R" le vérifierait encore, parce que la mesure de la hauteur de son ellipse imagée du palier (P), serait inversement proportionnelle à celle de la niche (N), toute "raison" gardée (premier ordre), et suivant le cœfficient de proportionnalité de l' "antimarche" (P÷N=2÷π). Au palier et à la niche irait la rampe interne, dans une maquette de Khéops.

Autrement dit, les hauteurs des "ellipses" du palier et de la niche (P et N), images simples des objets respectifs du boyau-puits rallongé et de la rampe interne (BP' et R), sont dans le rapport de celle qui introduirait le dual de l' "ellipse" de la destruction (dont la "marche originale" apparaîtrait en amont de la porte dérobée): la seule "antimarche" vers l' espoir.

Il est étonnant de constater enfin, que le cœfficient de proportionnalité de l' "antimarche", sans unité, est numériquement égal à la mesure du rayon polaire de la Terre (2÷π=0,6366198 ou 100,15% de 0,6356752 mégamètres×10).





Le dormeur doit se réveiller