Rappels
Un déluge serait provoqué par des masses glacières polaires asymétriques et pesantes qui, sous l' effet de la force centrifuge de la Terre en rotation, déplaceraient brusquement la croûte terrestre par la cause d' un éclair céleste. Son flux répandrait la mort sur l' ancien monde, et l' éclaircie de son reflux sur le nouveau monde donnerait la vie.

Un "mécanisme diluvien" est donc un pôle qui provoquerait le glissement de cette croûte, après le temps d' un flux de précipitations polaires (la neige), et avant celui du reflux de la fonte de ces glaces constituées. Son équivalent mécanique est un dispositif qui exprime ces trois temps: le flux, le déplacement, et le reflux.

Un "mécanisme" est une mise en scène architecturale détaillée d' un mécanisme diluvien (conduits d' aération, chambre étanche, lourd plafond et plancher escamotable). Elle se déroule dans le respect de la chronologie des évènements: depuis les "précipitations polaires" jusqu' au reflux de la "fonte des glaces", après l' effondrement du plancher d' une chambre. Il est lié à une antichambre par un plancher solidaire, que précède un couloir muni d' un sarcophage. L' antichambre et le sarcophage représenteraient le flux diluvien destructeur sur le monde.

Un "système allégorique", ou "mécanisme allégorique", prolonge ce mécanisme (secret) et met en scène le reflux d' un déluge sur des terres émergée et immergée (galerie ou couloir, et boyau borgne). Un bloc de pierre clôture enfin cet espace et ce "temps", comme une pierre tombale posée sur le passé (monde anéanti).

Dans une époque donnée ("âge" ou "ère diluvienne"), il y aurait alors deux mécanismes diluviens qui se côtoieraient:
- un "mécanisme actionné" dont le "plancher" serait bas (vestige d' une terre polaire): il serait apparu durant l' âge précédent, et il aurait créé ce "système allégorique" après son fonctionnement (déplacement, flux et reflux) ;
- un "mécanisme vierge" dont le "plancher" serait haut (image d' un pôle): il détruirait plus tard ce "mécanisme allégorique" actuel, et il deviendrait à son tour un "mécanisme actionné" dans le monde suivant.

Enfin, cela semblerait se vérifier avec la chambre du roi, puisqu' elle possèderait deux mécanismes en un: l' un virtuel au plancher bas (déluge n°2), et l' autre réel au plancher haut (déluge n°3 futur), tous les deux d' âge "aujourd'hui". Cependant, pour que la dualité des mécanismes royaux puisse se confirmer, il faudrait qu' il y ait dans la chambre de la reine au plancher bas (mécanisme actionné), un mécanisme vierge supplémentaire (plancher haut), comme figuré par le couloir.

La zone souterraine
Les mesures de la largeur de la chambre souterraine et de la longueur de son "couloir horizontal", sont proportionnelles à celles relatives à la chambre de la reine (largeur: 8,25m÷1,576=5,24m), et à son couloir d' accès au plancher bas. Cette proportionalité diviserait alors la longueur de la chambre souterraine, par exemple, en deux parties inégales.

Cette relation associerait les pièces entre-elles, comme d' un même âge, attribuerait à la chambre souterraine un mécanisme, et à son couloir d' accès une ex-antichambre qui prolongerait un ex-couloir muni d' un sarcophage: à l' image de celui de "la reine", dont la longueur égale celles du couloir du sarcophage et de l' antichambre du roi (5,50m).

L' image grossière de la petite chambre souterraine, au plancher sensiblement carré et proportionnel à celui de la chambre de la reine (1,90m×1,75m ou 98,7% de 5,76m×5,24m), placée en sandwitch entre la grande chambre et son couloir d' accès, et au plafond tarabiscoté évoquant des vagues ou une sous-face glacière, renforcerait cette hypothèse en tant qu' image d' un mécanisme: celui d' une chambre royale d' âge "hier".

Au couloir souterrain irait un plancher bas, à l' image du couloir d' accès à la chambre de la reine, et selon la relation "pôle-Terre", qui n' apparaîtrait pas à cause d' un dénivelé, comme une anomalie vis-à-vis du plancher bas de la demi-chambre est, mais plutôt comme un niveau indéterminé (point milieu), que la dualité du plancher de la chambre souterraine justifierait (bas et haut à la fois).

Dans ce contexte, la petite chambre souterraine évoquerait en outre, l' image du mécanisme antédiluvien vierge car, ses portes sont carrées, comme celle du mécanisme vierge de la chambre du roi, et son plancher serait donc haut, comme celui du couloir horizontal de "la reine", métaphore d' une terre polaire (déluge n°2 vierge).

Or, la dualité du plancher de la chambre souterraine, tantôt bas et tantôt relevé, renforcée par celle du "mécanisme" d' un plancher relatif, "bas" pour le couloir d' accès (mécanisme n°1 actionné) et "haut" pour la petite chambre (mécanisme n°2 vierge), inviteraient à conjuguer selon ce mode cette mise en scène souterraine: parce que les planchers d' une chambre et de son antichambre seraient liés par un même mécanisme.

Vérification
S' il existait vraiment dans le passage souterrain, l' image d' une antichambre associée à un couloir de sarcophage, l' une et l' autre devraient apparaître dans ses dimensions, voire dans l' agencement de cette architecture.

Effectivement, la mesure de la longueur du corridor entre la descenderie et la petite chambre souterraine, est directement égale à celle du couloir d' accès à la chambre de la reine (plancher bas), elle-même égale à celles de l' "ensemble" "du roi", qui est composé par un couloir de sarcophage et une antichambre (5,55m ou 100,9% de 5,50m).

De plus, la mesure de la longueur de cette petite chambre, est inversement proportionnelle à celle de l' antichambre "du roi", l' associant ainsi avec ses portes carrées à une chambre royale (1,90m ou 101,7% de 2,95÷1,576=1,87m).

Enfin, la mesure de la longueur restante, est inversement proportionnelle à celle du sarcophage dans la chambre du roi (1,45m ou 99,8% de 2,29m÷1,576).

Remarques
Autrement dit et du nord vers le sud, le passage souterrain montrerait le premier ensemble: de "l' antichambre et du couloir du sarcophage" de "la reine", en longueur vraie et en plancher bas (coefficient 1).

Puis, apparaîtraient une "antichambre duale" au plancher haut et un "sarcophage morbide", selon un autre coefficient de proportionnalité (1,576) et des valeurs inversées, comme par "goût de la vie" ((2,29+2,95)÷1,576+5,50=8,82m ou 99,1% de 8,90m).

En outre, et dans un ordre de grandeur supérieur (coefficient 1,576), le couloir souterrain en entier prendrait la mesure d' un second ensemble, où les parties "antichambre" et "sarcophage", réduites par ce coefficient, y seraient incluses (8,90-0,10=8,80÷1,576=5,58m ou 101,5% de 5,50m), donc vierge et au plancher haut (longueur diminuée de 10cm avec une "marche" de 20cm). A contrario de celui du premier ordre, qui serait effectivement dépourvu de ces éléments constitutifs.

(à suivre...)