Simplement, par extrapolation à partir de la construction géométrique du plan de l' hypothèse du Message d' avertissement (Le basculement de la Terre accrédité par la pyramide de Khéops), elle apparaîtrait sous la forme d' une "pyramide inconnue" en dualité avec celle du "pôle sud": la chambre secrète "nord".

Mieux, le rapport entre les images des terres polaires (planchers hauts) et leurs "mondes" relatifs objets (bases de pyramide aux "planchers bas"), serait égal à la racine carrée de deux, comme le coefficient de proportionnalité (théorème de Thalès) dans le cas de deux triangles isocèles semblables, dont l' aire de l' un est le double de celle de l' autre.

Ce que le plancher de la chambre du roi vérifierait avec la base de Khéops, puisque l' aire de la base située à ce niveau royal vaut la moitié de celle de Khéops. Or, sachant que l' équivalent géométrique d' un carré est une "surface de sphère" (spéculation de Poisson), que la pyramide de Khéops serait la maquette d' un hémisphère sud terrestre (postulat), et que la chambre royale serait à son image (rapports des hauteurs royales plancher-faîtage avec Khéops), alors et par association, l' aire d' un triangle isocèle figurerait la section d' une "pyramide-monde", dans le plan architectural, s' il possèdait son demi-semblable (surfaces triangulaires proportionnelles dans le rapport deux).

Ainsi, le niveau du plancher haut de la chambre du roi depuis le sommet de Khéops, dont l' image serait le continent Antarctique d' "aujourd'hui", aurait pour objet celui de la base de la pyramide de Khéops (plateau de Gizeh), qui figurerait notre Terre diluvienne (103,58m×√2=146,48m ou 99,9% de 146,58m).

De même, le niveau du plancher haut du couloir horizontal conduisant à la chambre de la reine, métaphore de la terre polaire sud d' "hier", aurait pour objet le niveau du plancher (bas) du couloir souterrain, qui représenterait la base de la maquette pyramidale de la Terre antédiluvienne (124,84m×√2=176,55m ou 100% de 176,58m).

Enfin, le niveau du plancher haut de cette antichambre souterraine ("terre polaire sud" d' "hier" duale), nous immergerait dans les profondeurs du plateau de Gizeh, cent trois mètres à la verticale de Khéops (-102,85m), et en route vers la base de la chambre secrète "nord": modèle de la "super-Terre".

Vérification
Sur la construction géométrique du plan de La chambre secrète "nord", pour que les deux "pyramides polaires" évoquent deux pôles égaux, en conservant le même rayon pour la circonférence "hémisphérique", elles devraient partager une même hauteur (39,211m). Pour cela, il faudrait que le plancher de la chambre secrète "nord" soit à un niveau calculé (-102,854m).

De la proportion issue de la relation "pôle-Terre" entre des triangles semblables, dont leurs aires sont dans le rapport deux, il faudrait alors remonter le plancher bas "terrestre" du couloir souterrain de vingt centimètres (0,204m). Si son antichambre figurait le mécanisme antédiluvien (n°2), ses objets seraient celui de la chambre du roi (mécanismes n°2 et n°3) au plancher bas virtuel (n°2 actionné), et le plancher du couloir horizontal menant à la chambre royale (n°2 vierge).

Par analogie, la largeur de la chambre de l' un par rapport à celle de l' autre, définirait dans le plan architectural une proportion "nord-sud" (5,235m÷1,90m=2,755), et la marche du couloir horizontal vers la chambre de la reine, donnerait l' amplitude de la remontée de plancher (0,525m).

Or et après calculs, l' élévation proportionnelle du plancher bas du couloir souterrain, définie par ces valeurs, s' arrondirait à dix-neuf centimètres au lieu de vingt (0,525÷2,755=0,191m) et la base de la pyramide secrète "nord" descendrait à ce niveau calculé (102,872m ou 100% de 102,854m; 100,3% avec 0cm au lieu de 19,1cm).

Les spéculations de Poisson
Mr François Poisson, un québécois du Canada, démontre dans son exposé Spéculation sur la géométrie en Egypte antique, des relations géométriques particulières dans certaines pyramides:

- Les grandes pyramides d’Égypte dissimulent des informations mathématiques ignorées jusqu’à aujourd’hui. Les mesures des trois grandes pyramides d’Égypte à Gizeh révèlent que les égyptiens de la IVe dynastie savaient calculer la circonférence, le volume et l’aire de la sphère 2000 ans avant les Grecs. La pyramide rhomboïdale affiche les trois grands problèmes de géométrie de l’antiquité : cubature de la sphère, duplication du cube, trisection de l’angle. Ainsi, nous affirmons que les Égyptiens voulaient graver de façon indestructible les concepts de base de la géométrie.

Selon le postulat de François Poisson, qui attribue respectivement à la hauteur et au sommet d' une pyramide, le rayon et le centre d' une sphère, la dualité amènerait deux lectures aux "sphères de Poisson", des pyramides à faces lisses du site de Gizeh:

- des équivalences entre objets géométriques:
- la circonférence aurait pour équivalent le périmètre d' un carré ;
- la surface de sphère aurait pour équivalent le carré ;
- la sphère aurait pour équivalent le cube ;

- ainsi que des attributs relatifs à ces trois pyramides:
- un périmètre (avec la circonférence de sa propre "sphère"), un carré (avec la surface de sphère de celle de Mykérinos), et un cube (avec la "sphère" de Khéphren) pour la pyramide de Khéops ;
- une sphère (avec le "cube" de Khéops) pour celle de Khéphren ;
- une surface de sphère (avec la base de Khéops), un périmètre et un cube enfin (avec sa "sphère de poisson"), pour Mykérinos.