(suite)

Le plancher est réellement bas
En effet, si le couloir souterrain représentait le déluge n°1 actionné (plancher bas d' un premier ensemble lié à son mécanisme de "la reine"), la demi-grande chambre correspondrait à celle de l' est. Cette dernière imagerait alors, dans le nouveau monde antédiluvien, le continent Antarctique ainsi que le mécanisme n°1 actionné, par analogie avec la chambre de la reine (chambre à chevrons et plancher bas). L' information d' un "puits" dans le monde d' âge "hier" s' y révèlerait, soit l' image d' un cratère d' éclair céleste.

De plus, cette trouée dans cette demi-chambre suggérerait par analogie et synchronisme, que la grotte avec son puits serait aussi l' image du monde d' âge "hier", donc celle de la chambre de la reine, et elle confirmerait la destruction du monde anté-antédiluvien (la croûte terrestre d' "avant-hier" touchée et déplacée vers "hier"), que le trou rebouché dans le dallage de la chambre de la reine, ainsi que le bloc "pierre tombale" déplacé dans la grotte, infirmeraient volontairement.

De la même manière, la sape dans la chambre du roi, qui serait aussi l' image du monde antédiluvien détruit et stigmatisé, vérifierait la destruction du monde d' "hier" par un plancher haut perforé (le continent Antarctique frappé "hier" et déplacé au pôle sud "aujourd'hui"), que le bloc double "rétracté" dans le couloir ascendant nierait, volontairement ("pierres tombales" destinées à être posées sur feux les mondes d' "hier" et d' "aujourd'hui").

Quant au bloc-bouchon ôté dans la grotte, il suggérerait par association et réciprocité les mécanismes diluviens de portes dérobées, qui se situeraient dans les chambres de la reine et souterraine: objets de la grotte. Ce que les carrés gravés respectivement sur le mur sud et au plafond de ces chambres, et qui symboliseraient un déplacement de la croûte (mécanisme au plancher carré), confirmeraient.

Enfin, la descenderie figurerait le monde d' âge antédiluvien qui succéderait à ce déluge (n°1), et le bouchon de la porte d' entrée clôturerait ce système allégorique, a priori, avec le monde extérieur d' âge "aujourd'hui" (isolant temporel).

Le plancher est virtuellement haut
Lorsque le plancher du couloir souterrain deviendrait haut, la demi-chambre souterraine d' âge "hier" correspondrait à celle de l' ouest. Elle ne représenterait pas l' impossibilité d' un continent Antarctique polaire sud, comme la chambre du roi d' âge futur (pôle sud d' "aujourd'hui" après son déplacement depuis "hier"), mais plutôt et par défaut le continent Antarctique polaire "nord", ainsi que le mécanisme n°2 vierge par analogie avec le couloir horizontal (terre polaire).

En outre, et analogiquement au système allégorique "du roi":
- la chambre et l' antichambre (second ensemble) seraient temporellement cloisonées ;
- la descenderie figurerait relativement le monde d' âge diluvien futur (le nôtre "aujourd'hui") ;
- et les blocs bouchons qui obstrueraient: le boyau conduisant vers la grotte, la descenderie ainsi que la porte d' entrée (conducteur temporel), seraient dégagés.

Vérifications
Si deux systèmes allégoriques devaient coexister ensemble, aussi bien dans la chambre de la reine que souterraine, cela devrait apparaître dans la mesure de leur architecture, ainsi que dans leur mise en scène.

Effectivement, la porte ouverte du boyau souterrain vérifie celle de la grotte (porte dérobée duale), ainsi que l' ex-tympan dual de la mini-chambre souterraine. Tandis que sa forme carrée et son alignement sur la porte d' entrée, confirment la présence d' une ouverture, ainsi que celle d' une trémie au plafond, dans les chambres de la reine et souterraine. Suggérant ainsi celle de la chambre secrète "nord": comme arrangée sur l' image de sa porte d' accès en plafond (le tympan).

De plus, les double mécanismes et systèmes allégoriques de "la reine": antédiluvien réellement (n°1 plancher bas) et diluvien fictivement (n°2 plancher haut), représentés dans la zone souterraine, raccourcissent la longueur de cette chambre royale (11×10 coudées), de la moitié imaginaire (1c) d' une largeur de couloir horizontal (2c). Parce que la double valeur du dénivelé dans ce corridor (la marche), partage aussi en longueur et en hauteur le mécanisme de la chambre de "la reine", et son couloir horizontal (le premier ensemble est escamoté lors d' un plancher haut).

Ce faisant, le plancher du mécanisme (n°1 actionné) devient un carré fictif (10c de côté), qui vérifie celui au plancher bas de la chambre du roi (n°2 actionné), ainsi que le double carré composant le plancher haut et rectangulaire de celle-ci (20c×10c): soit un mécanisme-cataclysme double et vierge (n°3).

Enfin, non seulement il apparaît deux nombres d' or dans la longueur du couloir d' accès à la chambre de la reine (L÷H), comme deux ellipses diluviennes, mais leurs symétriques se retrouvent dans la longueur proportionnelle du boyau souterrain (en face de la porte d' entrée de la chambre souterraine), comme égale à deux côtés d' un plancher carré de mécanisme (10c ou 5,24m) qui seraient synonymes de deux cataclysmes (16,50÷1,576=10,47m ou 100% de 5,24m×2).

Remarques
Il est étonnant de constater, si l' on fait tourner la grotte d' un quart de tour de la même manière qu' avec la mini-chambre souterraine et le palier du couloir horizontal, que son symétrique selon un plan vertical sud-nord, matérialiserait alors les "portrait-robots" de la demi-chambre souterraine est (dualité vérifiée), qu' un puits et qu' un boyau borgne confondraient, ainsi que celui de la rampe interne: depuis la porte dérobée dans la chambre de la reine (dualité vérifiée).

Or, si l' on opérait à l' identique avec le palier du couloir horizontal, qui serait la maquette de la chambre du roi, l' emplacement de l' embouchure avec ce symétrique, préciserait justement celui du bloc-bouton dans la chambre objet: sur le mur sud, en plancher, et dans l' angle sud-est (la mort).

Quant à la mini-chambre équipée d' un tympan, d' une cuvette, de planchers haut et bas, ainsi que d' un couloir d' accès donnant sur la descenderie (dualité de la grande chambre vérifiée), sa symétrie naturelle selon un plan parallèle au plan architectural, et malgré une rotation imparfaite, n' apporterait rien de plus.

(à suivre...)