(suite)

De tout cela il viendrait:
- que les mécanismes royaux seraient double, comme ceux qui se cotoieraient dans un monde donné (actionné et vierge) ;

- que la porte dérobée qui mènerait à la chambre secrète "sud" (le "pôle sud" ou "la mort"), se situerait dans la chambre de la reine, se constituerait d' un bloc coulissant (grotte), et serait repérée par un carré (chambre souterraine) ;

- que l' hypothèse de Lheureux et Martin, d' un tympan carré au plafond de la chambre souterraine, se vérifierait en retour ;

- que le monde anté-antédiluvien serait paradoxalement à la fois mort et vivant, comme subissant la destruction diluvienne d' abord (puits dans la grotte et dans la demi-chambre souterraine est), et étant délibérément préservé de celle-ci ensuite (trou rebouché -réparé- dans la chambre de la reine et bloc-bouchons rétractés dans la grotte et le couloir ascendant) ;

- que le monde antédiluvien serait paradoxalement mort et vivant, comme subissant le déluge d' après (trou dans la chambre du roi), tout en ayant volontairement échappé à celui-ci avant, pour moitié seulement et au pôle nord (sape dans le plancher de la chambre du roi, et "pierre tombale" double du couloir ascendant non-refermée) ;

- que la chambre souterraine associerait métaphoriquement, les mondes d' "avant-hier" et d' "hier" aux pôles géographiques duaux: tantôt troués et écrasés sous le poids de l' eau (pôle sud), tantôt renouvelés et épargnés à l' inverse (pôle nord) ;

- qu' il suffirait d' observer les sculptures de la demi-chambre souterraine ouest (déluge n°2 vierge), pour imaginer le contenu de la chambre secrète "nord", puisqu' un plancher bas (déluge n°1 passé) diviserait cette demi-chambre ouest et joindrait deux "mondes": l' un d' âge "avant-hier" au sud (la mort) et l' autre d' époque "hier" du côté nord de "la vie" (sens chronologique horizontal du sud vers le nord) ;

- que la chambre secrète "nord" serait l' objet réel de la demi-chambre souterraine ouest (dualité vérifiée), comme le plancher du couloir souterrain qui, imaginairement relevé (petite chambre), désignerait en même temps le pôle nord (mécanisme vierge) et ce monde original (niveau "terre polaire"×√2=niveau "base monde relatif" ou mécanisme actionné dual) ;

- que les concepteurs de la Grande pyramide, projeteraient l' ouverture de sa porte d' entrée à l' époque d' « aujourd'hui » ;

- que la réelle fermeture de cet accès, comme isolant temporel vis-à-vis du temps d' « hier » ("réel" dans la descenderie), renforcerait l' âge « diluvien » de la pyramide de Khéops (si contemporanéité, la porte d' entrée aurait été ouverte) ;

- que le mécanisme diluvien de celle-ci ("profanation", "révélation" et "réaction"), serait dual avec celui de la minuterie dans le conduit d' aération sud de la chambre du roi ;

- que le double nombre d' or signifié dans le couloir d' accès à la chambre de la reine (rapport des mesures de la longueur sur la hauteur), imagerait les deux ellipses diluviennes (d' "hier" et d' "aujourd'hui") qui seraient confondues dans le système allégorique de "la reine".

Remarques
Les reflux diluviens des systèmes allégoriques ("du roi" et "de la reine"), retourneraient métaphoriquement au-delà de leur bouchon, vers les pôles ("sud" à l' est et "nord" à l' ouest) et en précipitant (comme la neige).

Lorsque le plancher du mécanisme n°1 serait bas (réellement: planchers des couloirs d' accès aux chambres de la reine et souterraine), comme le préciserait le bloc-bouchon "passant" de la grotte (système allégorique "de la reine" ouvert), la zone souterraine resterait d' époque antédiluvienne ("hier"). Précision que le bloc-guillotine simple, rétracté dans l' embouchure du couloir ascendant, ainsi que l' isolant temporel de la porte d' entrée obturée du monument, vérifieraient.

Lorsque le plancher du mécanisme n°2 serait haut (virtuellement: image de la petite chambre), tout l' espace en aval des chambres souterraine et de la reine jusqu' à la porte d' entrée, passerait à l' âge irréel diluvien (bloc-bouchons relevés et porte d' entrée ouverte virtuellement).

Selon la chronologie des systèmes (lecture horizontale), la partie en amont de la porte dérobée dans la chambre de la reine (rampe interne et chambre secrète "sud" avant cet isolant temporel) serait d' âge "avant-hier", comme antérieur à celui de cette chambre royale d' âge "hier" (mécanismes n°1 actionné ou n°2 vierge).

Vérifications
Si la chambre souterraine et sa circulation représentaient vraiment l' image d' un mécanisme, tantôt actionné (n°1) et tantôt vierge (n°2), et sachant que celles-ci sont "horizontalement" (sens sud-nord) proportionelles à leurs objets (chambres et ensembles royaux), alors, la descenderie logée en aval de l' antichambre de ce mécanisme, et coupée en deux parties basse et haute, au point d' intersection entre son plancher et celui du couloir ascendant, devrait être également proportionnée à ces deux systèmes allégoriques (parties "émergée" et "immergée", d' âges "hier" et d' "aujourd'hui").

Effectivement, lorsque le plancher du mécanisme est bas (déluge n°1 passé), la longueur de la partie aval de la descenderie, devient le double de celle du couloir horizontal, "partie émergée" de ce système allégorique incluant l' antichambre de "la reine", lorsque les planchers tombent bas (38,67×2=77,34m ou 100,1% de 77,27m). En outre, puisqu' aucun plancher ne peut définir la longueur, ne possèdant que des parois, de la "partie immergée" du boyau vertical menant à la grotte, la "partie émergée" la remplacera par défaut, et le couloir horizontal apparaîtra deux fois.

Mieux, puisque les objet et image du système allégorique de "la reine" stoppent aux bloc-bouchons rentrés, qui dans la grotte et qui dans le couloir ascendant, au-delà figure donc fictivement le monde d' "aujourd'hui". Soit la partie amont de la descenderie qui, prolongée jusqu' au seuil de la porte d' entrée (V=+15,635m et H=+16,105m), égale a priori la demi-longueur de la grande galerie, depuis l' antichambre "du roi" ici exclue (46,11+2,87=48,98÷2=24,49m ou 97,8% de 25,03m). Justement, la somme de ces longueurs égale celle de la descenderie (77,34+24,49=101,83m ou 99,5% de 102,30m).

De plus, il en va de même lorsque le plancher du mécanisme souterrain est haut (déluge n°2 vierge). La longueur de la partie aval de la descenderie, devient alors proportionnelle à celle de son objet "émergé" de la grande galerie rallongée depuis un ensemble (48,98×1,576=77,19m ou 99,9% de 77,27m), et celle de sa partie amont le devient, en raison inverse, à la longueur du couloir ascendant, en tant que la "partie immergée" du système allégorique "du roi" d' âge "aujourd'hui" (39,27÷1,576=24,92m ou 99,5% de 25,03m).

Plus encore, l' inutilité d' un cloisonnement indicatif entre les zones "émergée" et "immergée", autorise l' addition de celles-ci et son égalité à la longueur du couloir descendant, jusqu' au "bloc-bouchon" de la porte d' entrée ouverte virtuellement, et rétracté figurativement sous l' épitaphe du monument (77,19+24,92=102,11m ou 99,8% de 102,30m).

Enfin, les parties haute et basse de la descenderie deviennent a priori proportionnelles, comme le demi ou le double, à leurs images respectives du système allégorique "du roi", d' âge "aujourd'hui" (48,98÷2=24,49m ou 97,8% de 25,03m et 39,27×2=78,54m ou 101,6% de 77,27m). Or, alignées normalement sur toute la longueur du couloir descendant, et sans modifier leurs proportions, la somme de ces parties devient égal au tout (24,49+78,54=103,03m ou 100,7% de 102,30m).

Conclusion
Au premier ordre (coefficient 1) et au delà d' un premier ensemble d' âge "hier" ("antichambre et couloir de sarcophage"), comme égal à celui de "la reine", les deux parties "émergées" confirmeraient que l' ancien monde d' "avant-hier", serait à la fois disparu et sauvegardé. Parce que la partie "immergée", qui désignerait dans ce nouveau monde l' anéantissement de l' humanité précédente, aurait été symboliquement "renflouée à la vie" dans le monde d' "hier", par cette "réémergeance".

Un bloc pierre-tombale ponctuerait ce temps (bloc-bouchon retiré dans l' embouchure du couloir ascendant), au-delà duquel succèderait l' époque fictive d' "aujourd'hui" qui, pour moitié et par symétrie miroir avec notre monde, parce que la porte d' entrée est réellement close (isolant temporel), "remonterait le temps" vers la chambre souterraine (sens nord-sud), à la rencontre des mondes engloutis d' "hier" et d' "avant-hier", que les deux parties "immergées" figureraient, et qui se retrouveraient tantôt dans la grande chambre, et tantôt dans la chambre secrète "nord": toutes les deux sous la terre.

Au second ordre irait (coefficient 1,576), au delà du second ensemble proportionnel à celui "du roi", donc d' âge "aujourd'hui", les parties allégoriques contemporaines émergée et immergée, où il serait précisé à l' inverse (proportion), que le monde d' "hier" n' aurait pas fait naufrage mais, qu' il lui serait survivant comme le nôtre d' "aujourd'hui". Ce chemin prendrait ensuite la direction d' un soleil, vers le nord (porte d' entrée décorée et "ouverte" du monument).

En outre, au premier ordre d' un temps d' "aujourd'hui", et après le "déplacement de la croûte" d' "hier", s' imaginerait les mouvements d' un flux et d' un reflux: comme depuis la chambre souterraine, et vers cette métaphore océanique. Tandis que le second ordre prendrait, via une "porte du Soleil" virtuellement passante (conducteur temporel), la direction du ciel au-delà de naines inconnues (le lion stylisé qui ornerait la porte d' entrée de Khéops). Ainsi, un double cataclysme qui menacerait notre ère diluvienne du Taureau, nous serait suggéré: un déluge d' abord, et une catastrophe céleste ensuite.

Enfin, le mécanisme secret dual, image du mécanisme secret de Lheureux et Martin, évoquerait par sa mise en scène les objets du tympan vierge, et du plafond de la chambre souterraine qui, "reflets" sur un jeu de miroirs égyptiens, nous renverraient vers leurs objets réels et à porté de main: la chambre secrète de "la vie", dont la chambre souterraine ouest serait l' objet virtuel, et sa porte dérobée: que le prolongement du mécanisme secret dual nous montrerait du doigt.

Là, tout en bas de la descenderie. Là, à l' autre bout d' un plancher souterrain vague. Là enfin, à l' orée de l' ellipse duale d' une coursive secrète.

remarques
Il est étonnant de constater, que les mesures des longueurs totales des trois systèmes allégoriques significatifs, figurés dans la descenderie ("hier" et "aujourd'hui" avec k=1, et "aujourd'hui" avec k=1,576), sont rigoureusement égales à celles de leurs originaux, toutes proportions gardées (100,1%, 100,1% et 99,8%).

Il serait représenté deux systèmes allégoriques duaux et royaux dans la Grande pyramide, consécutivement à deux mécanismes diluviens propres à chacun d' eux, dont l' un serait actionné et l' autre serait vierge.

En outre, ces systèmes se complèteraient chronologiquement et fictivement: tel qu' "hier" (système réel de "la reine") précèderait "aujourd'hui" (système virtuel "du roi"), et que "demain" (système réel "du roi") succéderait à "aujourd'hui" (système virtuel de "la reine"). Enfin, un déluge imagé respectivement aux cataclysmes n°2 et n°3, les relierait ensemble ponctuellement.

De cela il viendrait d' une part, qu' aux deux points de contact architecturaux entre les systèmes allégoriques royaux, comme le palier reliant la grande galerie au couloir horizontal, et les deux bloc-bouchons (dont un double) joignant la descenderie et le couloir ascendant, s' attribueraient les valeurs suivantes selon les mécanismes diluviens n°2 puis n°3:

- au bloc-bouchon simple premier, iraient les images de pierres tombales posées sur les mondes d' "avant-hier" et d' "hier" ;
- au bloc-bouchon double, iraient celles relativement aux mondes d' "hier" et d' "aujourd'hui", qui seraient double aussi.

D' autre part, le palier qui représenterait deux mécanismes diluviens, par sa couverture amovible, vérifierait ceux de ses objets de la chambre du roi et de la rampe interne (section), puisqu' il serait leurs maquettes et leurs symétriques.

Tous ces mondes survivraient de nos jours d' une manière ou d' une autre. Parce qu' aucun bloc-bouchon des systèmes allégoriques n' aurait été réellement déplacé, d' une part, et parce que la remontée du temps dans la descenderie d' autre part (premier ordre), nous les ramènerait au grand jour.

A l' inverse, la survenue d' un super cataclysme futur les engloutirait, s' il n' était pas dual, tel le couperet de blocs "guillotines", suspendus dans le couloir ascendant entre "aujourd'hui" et "demain", comme entre "hier" et "aujourd'hui".

Enfin et à l' endroit, le monde d' "hier" qui serait agé de 12 500 ans et celui d' "aujourd'hui", jeune de 6 000 ans seulement, pourraient s' unir face à la résolution d' une menace future, duale, et solidaire.