Le couloir vertical (suite)

(suite)

Vérifications
Le dénivelé de planchers entre les chambres enterrées ouest (PH) et "secrète nord" (PB) qui égale la demi-hauteur de Khéops (102,85-(30-0,19)=73,04m ou 99,7% de 146,58÷2=73,29m), ajouté à leur relation "pôle-Terre" en "second" où entre leurs chambres "premières" relatives s' insinuerait la "double ellipse BP' et S" (le logement de la reine et le demi-local souterrain est), dont les maquettes royales de la Grande pyramide exprimeraient la probabilité et que le puits en sous-sol vérifierait (5c ou phi²), attribueraient dans la hauteur de ces deux chambres initiales une réplique de Khéops, comme sa demi-hauteur, qu' une "double ellipse" équiperait: soit l' image d' une "double ellipse pyramidale" (voir schéma Les doubles ellipses pyramidales duales dans Khéops).

Puisque la chambre souterraine jouerait son propre rôle dans ce modèle souterrain de la Grande pyramide (les pôles nord et sud "en second" d' âge "hier"), il viendrait que les accès horizontaux de ses boyau et palier engageraient chacun une "double ellipse", analogiquement à leurs semblables horizontales dans les deux maquettes royales (la "double ellipse poutre-linteau" nord-sud du "roi" et celle à l' inverse de la "reine"). En effet, la mesure de la longueur du conduit enterré au sud de la chambre souterraine (le boyau), égale celle d' un côté de la base d' un "pôle sud" de chambre secrète (16,50m ou 100,1% de 16,48m (39,21÷146,58)²×230,34=16,48m), ainsi que la mesure de la double largeur en "second" du plancher royal d' un "mécanisme diluvien" (16,50m ou 100% de 2×1,576×5,235=16,50m), donc, deux "ellipses" ou deux "phi²" en direction d' une chambre "pôle sud" objet.

En outre, le multiple de cette mesure précédente par le facteur "phi²" (le boyau souterrain de 16,50m de longueur), permettrait de retrouver la mise en scène de la "double ellipse" horizontale au nord, parce qu' il égale la dimension du "demi-système allégorique" des temps d' "hier" et d' "aujourd'hui" virtuel, dès la grande chambre, du palier jusqu' à la poterne ouverte des trois bloc-bouchons (16,5×2,618=43,20m ou 100,3% de 86,17÷2=43,09m).

Quant à la proportionnalité du "rayon" souterrain, elle se vérifierait au sud comme le demi, selon l' image du rayon polaire nord de "la reine" (8,25÷2+16,50=20,63m ou 99,9% de 41,29÷2=20,65m); tandis que son palier antagoniste lui serait inversement proportionnel, comme en "second" et en direction du "pôle nord" de la chambre d' "Hérodote" ((8,25÷2)+8,90=13,03m et 13,03×1,576=20,53m ou 99,5% de 20,63m).

Enfin, la descenderie confirmerait tout cela en rayonnant depuis le "centre de la Terre" enterré, jusqu' à l' image de ce Lion vigilant et à l' affût sous la croûte de Khéops, au nord. Parce que la mesure de la longueur du couloir descendant égale celle du rayon polaire "RP2" (105,37-3,07=102,3m ou 99,5% de RP2=102,85m), d' une part, et qu' elle se confond d' autre part avec celle du demi-côté de la base de la Grande pyramide, via le "rayon" du palier (13,03+105,37-3,07=115,33m ou 100,1% de 230,34÷2=115,17m).

Autrement dit, un observateur qui se situerait dans la pyramide enterrée "nord" verrait, transposés à partir de son image dans le caveau souterrain, les chemins duaux d' une "double ellipse", via un "rayon polaire" qui s' associerait à une "terre". L' une d' elle se terminerait dans un cul-de-sac, sous le "Sphinx" du plateau de Gizeh et l' autre buterait sur une "porte-bouchon", si celle-ci était fermée tel un couvercle, soit l' image des blocs du couloir ascendant qui clotureraient les allégories souterraines d' "hier" et d' "aujourd'hui". En amont de la "porte dérobée n°2" irait alors et chronologiquement, les époques antérieures d' "avant-hier" et d' "hier", comme celles qu' il y aurait entre le "pôle sud" de la chambre "nord" et son bas plancher du temps d' "hier", que l' objet de l' "ellipse" "S" séparerait (la relation "pôle-Terre" avec le local souterrain d' "hier" et la rampe interne de la chambre "nord").

La contrainte d' aligner les extrémités de la "spirale d' or" avec la tête du "Lion", tantôt selon une tangeante parallèle à la base du quintuple triangle isocèle tracé sur ce plateau, tantôt suivant une autre qui serait normale à l' axe de symétrie est-ouest de Khéops, ajouté à la construction géométrique rigoureuse de cette révolution axée sur la Grande pyramide, implique de fait une orientation, une localisation, un encombrement et une mesure de sa longueur, tous uniques.

En outre, l' implantation de ces trois principaux monuments par un second assemblage géométrique, fondée sur les mesures pratiques et théoriques de Khéops (C=440c et H=280c), ainsi que sur la droite de LeBosonDeHiggs qui validerait le point géométrique de la "tête du Sphinx", récoleraient ce plan d' ensemble plus sûrement qu' avec des valeurs imparfaites, ou des photographies trompeuses. A condition d' en respecter la logique duale: le "Sphinx" ou "Mykérinos".

Enfin, à la mesure de la longueur de cette "spirale d' or" irait une "double ellipse", parce qu' elle suggère le nombre huit (1250,2m ou 100% de 10⁴÷8=1250), tandis que deux "ellipses" ou deux "phi²" iraient à une rangée de huit blocs dans la chambre du roi, que compte la plinthe de sa façade nord (à une rangée de quatre briques va une demi-chambre "mécanisme" ou "phi²"). Un corridor l' agrandirait, dont la mesure de sa longueur évoquerait aussi en coudées royales "phi²" (500c), il figurerait la seconde hélice qui prolongerait ce premier colimaçon, dans le contexte d' une "double ellipse" (trois ères).

L' impasse d' une seconde chambre polaire "sud" au plancher "haut" (0,525m) terminerait la route (hauteur: 39,21m et largeur: 61,62m), "phi moins un" mètres sous le "Sphinx" (62-22=40m et 102,85-40-0,53=62,33m ou 100,8% de (phi-1)×100=61,8), comme une "ellipse" qui, par inversion avec le puits souterrain qui imagerait la relation "pôle-Terre" en second (phi+1=phi²=2,618), joindrait d' autres pôles sens dessus dessous (phi-1=1÷phi=0,618 et 0,618×100=61,8).

Quant au rayon de la circonférence du plan d' ensemble, sa mesure est l' image en coudées du nombre "66" (660c), valeur du "rayon polaire" virtuel d' "hier" entre le couloir enterré horizontal et le sommet de la chambre de la reine: images respectives du centre de la Terre d' "hier", de la terre du continent Antarctique à la même époque et de l' objet du faîte de Khéops à l' âge précédent ("avant-hier" par l' "ellipse N"). Lorsque ces "660c" sont converties en mètres, mathématiquement, le nombre "66" se retrouve et "phi²" y apparaît deux fois (660×0,5235=345,51m ou 100% de 66×2×phi²m).

Si le "rayon b3" figurait celui qui relierait la terre d' "avant-hier" (ellipse, nombre fractionnaire, sens antihoraire), comme antérieurement à la chambre "nord" agée d' "hier", alors et analogiquement, il serait en relation avec le "rayon polaire" qui s' étirerait depuis le "centre de la Terre" du logement de la reine, le long du "couloir horizontal inconnu" qui se cacherait derrière la "porte dérobée n°1". Effectivement, lorsque le demi-côté de la base à hauteur de ce "centre" est diminué de la longueur de ce "rayon b3", il reste pour toute mesure quatorze mètres (((((146,58+102,85)÷2)÷146,58)×230,34)÷2)-(160,43×0,5235)=14,01m ou 100% de 14m), entre le parement de la Grande pyramide et le corridor de la spirale d' or duale (la rampe interne dans Khéops).

Réciproquement, le "rayon polaire nord" de la "chambre verte" rejoindrait le monde suivant d' "hier", verticalement et dans la logique d' un sens horaire (499,57c soit, en mètres, 499,57÷4=124,89m ou 100,1% de 124,72m ou RP1), comme l' axe polaire qui existerait dans Khéops entre ces chambres "secrètes". Enfin, ces deux "rayons" s' additionneraient et ils définiraient le cercle du "zodiaque" qui serait mise en scène sur le plateau de Gizeh (160,43+499,57=160+500=660c).

Remarques
L' époque virtuelle d' "aujourd'hui" n' existerait qu' en aval de l' entrée de la pièce en sous-sol, comme à partir d' une antichambre incluse. Les deux quarts ouest souterrains, aux temps d' "hier" réel et virtuel d' "avant-hier" au sud-ouest, que l' accident de l' "ellipse S" séparerait, vérifieraient la dualité temporelle des demi-pièces est et ouest, dans cet appartement faussement cloisonné (le pôle sud d' "avant-hier" dans le bas monde d' "hier").

La "marche originale" de l' "ellipse", qui joindrait la porte dérobée n°2 et le "pôle sud" de la chambre d' "Hérodote", n' apparaitrait qu' à l' ouverture, sans ce cas de figure la chambre secrète "nord" prendrait les temps d' "hier" réel et d' "avant-hier" au "sud", dû à sa relation "pôle-Terre" avec le local souterrain d' âge "hier", tandis qu' en amont de l' "ellipse" de la "spirale d' or", dans la "chambre verte" sous le Lion du plateau, s' orneraient les ères d' "avant-hier" réelle et de sa précédente. Au percement du mur prendraient place les civilisations antérieures, comme un rayon qui pointerait.

La "marche originale" qui introduit la "spirale d' or" depuis la chambre d' "Hérodote" et que quatre arcs à "90°" complèteraient, définiraient une "ellipse diluvienne", de la même manière que la rampe interne dans la Grande pyramide, entre les âges d' "hier" et d' "avant-hier" (la porte d' entrée de Khéops est fermée); à cette spirale s' associerait fidèlement l' hélice d' une circonférence à "360°", comme deux objets géométriques en un. Une dernière "ellipse" relierait la base de la "chambre verte" à son "pôle sud", entre les temps d' "avant-hier" et antérieur, comme devinée dans l' autre chambre "sud".

Il est étonnant de constater, que les demi-bases respectives entre Khéops et cette pyramide grossit cinq fois, se figurent proportionnelles au nombre phi élevé au carré, dans le rectangle d' or où s' inscrit cette spirale: leurs mesures s' y retrouvant via les mètres pour la petite (b1=420c ou 219,9m soit numériquement 100% de 220c), et directement en coudées pour la plus grande avec la valeur "b0" (1100c pour 1100c et 1100÷420=2,619 ou 100% de phi²).

Or, des côtés irradiant du centre de cette figure hélicoïdale: le pyramidion de Khéops, seule la mesure du rayon "b1" se démontre entière par le calcul. Elle apparaîtrait de cette manière comme un modèle, esquissant l' arrondi d' une "épaule providentielle", et imageant notre troisième quart-monde vivant dans une année précessionnelle (sens antihoraire), elle suggérerait en outre l' addition d' un complémentaire (+/- ³√13-¹), au nombre fractionné ("quart-monde mort"), pour nous servir sur ce plateau et in fine, la preuve d' un arbitraire par cette mise en scène absolue et sereine (toutes mesures entières hors "rotation").

Parce qu' une "ellipse diluvienne" enjamberait l' "accident" qui séparerait deux "mondes diluviens" consécutifs, ce côté remarquable du troisième carré de la "spirale d' or" ("b1" ou l' image de la demi-base de Khéops), le représenterait vierge dans cette "ellipse". En outre, ce dernier accuserait le rapport avec le côté "b0" (image de la demi-base de Khéops au quintuple), selon "phi²", suggérant sa mise en scène sur le plateau de Gizeh. Enfin, il attribuerait à une "hauteur" un "accident" et validerait le facteur de proportionnalité "phi²" entre les côtés d' un rectangle d' or croissant ("pi÷2" et an÷bn+1=phi²).

Extrait du livre Le Mystère du Grand Sphinx, de Robert Bauval et Graham Hancock (page 201):
"Jean Kérisel, le grand ingénieur dont nous connaissons déjà les travaux sur la chambre souterraine, a fait récemment progresser l' exploitation des données géologiques en suggérant que le sphinx pouvait se dresser au-dessus de l' entrée d' un tunel de 700 mètres de long, menant à la Grande Pyramide, et jadis totalement ou partiellement empli d' eau."

De la longueur d' un arc de "spirale d' or" proportionnelle au côté du carré circonscrit, lui-même relativement à son suivant en fonction du nombre phi, il viendrait: qu' un quart de tour s' unirait à lui dans le carrousel d' un grand "huit", afin de parachever une année précessionnelle et de séparer par une "ère diluvienne" la "chambre d' Hérodote" de sa "chapelle" sous le Lion endormie, que leurs objets d' "avant-hier" et d' "hier" s' imagineraient depuis la descenderie, derrière une "herse" rétractée ici, que les spectres de la chambre verte des mystères de jadis, hanteraient toujours à l' ouest la demeure souterraine d' Egypte, là-haut, dans le ventre de cette Grande pyramide africaine, dans son grenier et sous le comble de ces humanités ensevelies.

Il n' y aurait enfin aucune "hauteur" dans la mort, contrairement au souvenir et à la peine, un quart de tour plus tôt.