Cinq "gradins" en dénivelé apparaissent dans la tranchée qui traverse la demi-chambre souterraine ouest, entre le plancher bas du mécanisme n°1 actionné (demi-chambre est) et le plancher haut du mécanisme n°2 vierge (demi-chambre ouest). Or, la dualité à cette image en escalier se vérifierait avec le mécanisme diluvien du palier, en début de couloir horizontal, qui séparerait les mondes d' "hier" dans cette circulation et d' "aujourd'hui" dans la grande galerie.

Parce que les mortaises de ce palier suggéreraient des poutres, qui visualiseraient des échelons, donc, ce raccourci en forme d' escalier à cinq marches, comme survolant un déluge entre deux mondes, représenterait une ellipse diluvienne: l' âge réel d' "hier" du couloir horizontal au plancher haut, finissant sur celui d' "aujourd'hui" fictif du plancher bas de la cunette de la grande galerie, par exemple.

Le symétrique au palier du couloir horizontal, soit la "tranche de la demi-pyramide sud" (la rampe interne ici à cinq niveaux), le vérifierait avec les cinq étages d' une autre ellipse: depuis le couloir horizontal inconnu (le symétrique) jusqu' à la chambre secrète "sud", au travers d' un accident et sur l' étendue de l' époque d' "avant-hier" (en amont de la chambre de la reine d' âge "hier"). Ce que la mise en scène des cinq "marches" de la niche (ressauts d' encorbellements) et des cinq planchers des chambres de décharge "du roi", depuis la chambre Davison figurant la "chambre de la reine", jusqu' au comble de la chambre Campbell, illustreraient.

Les "ellipses" à cinq "échelons" qui seraient représentées dans la Grande pyramide, se remarqueraient toujours par une première marche, comme la nécessaire analogie avec un mécanisme diluvien, tel un plancher surélevé qui finirait bas "un peu plus loin", ou plus tard dans le monde suivant, par exemples:

- la métaphore de la cascade souterraine, qui remonterait la traversée graduelle d' un temps qui s' écoule ;
- la marche du boyau, au bout du couloir horizontal, qui introduit le raccourci suggéré vers le corridor souterrain ;
- celle du couloir symétrique inconnu, qui engage l' ellipse de la rampe interne vers la chambre secrète "sud" ;
- le grand niveau encorbellé de la niche, qui sépare le premier ressaut du plancher de la chambre de la reine ;
- le dénivelé de l' appui au niveau de l' embouchure du boyau, qui figurerait le premier échelon du palier ;
- l' étage depuis la cunette de la grande galerie jusqu' à l' engravure, qui initie cinq paliers d' encorbellement ;
- enfin, l' escalade surhumaine des chambres de décharge, depuis l' une, avant d' espérer atteindre la chambre Campbell.

De cela il viendrait, qu' une ellipse se définirait par un escalier à cinq marches (niveaux ou gradins) reliant deux planchers, et dont la première serait originale; réciproquement, une "ellipse diluvienne" identifierait deux âges successifs, de part et d' autre d' une malédiction. Par exemple, et malgré l' absence d' une chronologie verticale:

- l' ellipse qui couperait en deux le plancher haut de la chambre souterraine évoquerait, chronologiquement ici, l' ère d' "avant-hier" au quart-chambre sud-ouest; la tranchée matérialiserait les planchers tombant du mécanisme n°1 au sud, montant du mécanisme n°2 au nord, et son association avec le "mécanisme actionné" n°1 de la demi-chambre est l' identifierait ;

- celle que formeraient le boyau et le puits prolongé, traversant la grotte, indiquerait après la "porte dérobée" n°2, les époques d' "avant-hier" réelle et d' "hier" fictive; parce que les chambres souterraine et "nord" seraient dans la "seconde" relation "pôle-Terre" d' âge "hier", d' une part, et parce que le couloir souterrain d' autre part, serait des temps d' "hier" réel et d' "aujourd'hui" virtuel ;

- celle entre la chambre "sud" et le couloir horizontal symétrique, subdiviserait cette ère diluvienne en deux époques ;

- celle d' "aujourd'hui" dans la grande galerie attribuerait l' âge d' "hier" au boyau d' accés à la chambre Davison ;

- celle de la niche dans la chambre de la reine, vérifierait l' âge d' "avant-hier" à son comble, comme son objet de la chambre secrète "sud" qui serait accessible par la rampe interne (antérieure à l' âge d' "hier" de la chambre de la reine) ;

- enfin et pour la même raison que précédemment, l' ellipse de la rampe interne imagée dans la maquette de Khéops par les chambres de décharges du roi, suggérerait l' ère d' "avant-hier" à la chambre Campbell, cet autre image du comble de la Grande pyramide (voir les remarques).

Les "accidents" qui sépareraient deux mondes, selon le postulat de l' "ellipse diluvienne", seraient les images catastrophiques des objets architecturaux suivants (compris entre deux planchers):

- la tranchée dans la chambre souterraine, elle serait l' allégorie du déluge n°1 (descente du "mécanisme vierge" n°1) ;
- la grotte de l' ellipse boyau-puits rallongé, elle serait l' allégorie d' une décharge céleste (voir les remarques) ;
- le boyau de la niche dans la chambre de la reine, elle représenterait un bras du Soleil ailé (voir chapitre Dualités) ;
- la couverture du palier, elle serait celle du "mécanisme diluvien" n°2 (entre les systèmes allégoriques royaux) ;
- l' engravure de la grande galerie, elle évoquerait le déluge d' âge "hier" (association avec le "mécanisme" ci-dessus) ;
- enfin, l' allégorie de la poussière noire dans la chambre Wellington, qui ont été découvertes en 1830 par le colonel Howard Vyse:

The new chamber had a strange effect on those who entered it". They turned black. It was not bat dung which was thought to be the cause. It appeared that the floor was covered with a mysterious thin black powder. Colonel Vyse had it analyzed and it turned out to be the cast off shells and skins of insects. There were no living insects to be found in the chamber. An interesting speculation is if those insect parts were from the time of the building of the Great Pyramid and got sealed inside the chamber, we could use C14 to date the construction of the pyramid. It is also possible that they entered through cracks much later. Either way, a C14 study of these insect parts that were found (if they were saved) would be interesting.

Traduction amateur:

La nouvelle chambre avait un étrange effet sur ceux qui y sont entrés". Ils sont devenus tout noir. Ce n'était pas à cause des excréments de chauve-souris. Il est apparu que le plancher avait été couvert d'une mince et mystérieuse poudre noire. Le colonel Vyse l'a fait analyser et cela s'est révélé être des carapaces et des peaux d'insectes. Aucun insecte vivant ne fut trouvé dans la chambre. Une spéculation intéressante consiste en ce que: si ces restes d'insecte dataient du temps de la construction de la Grande pyramide et furent scellés à l'intérieur de la chambre, nous pourrions utiliser la datation au carbone 14 pour trouver l' âge de la pyramide. Il est également possible qu'ils se soient infiltrés beaucoup plus tard. Dans tous les cas, une étude au carbone 14 de ces restes d'insecte retrouvés (s' ils ont été préservés) serait intéressante.

il est terrifiant d' imaginer que la chambre Wellington, dont les cendres qu' elle abritait furent alléguées à des débris d' insectes ensevelis, suggérerait la chambre du roi d' "aujourd'hui", vision du continent Antarctique, puisqu' elle couche au dessus de l' image vive de son passé: l' objet de "la reine" évoqué par la chambre Davison dans la maquette de Khéops.

Remarques:
L' engravure dans la grande galerie d' âge "aujourd'hui" fictif, indiquerait depuis le plancher bas d' une cunette, l' enjambée de la première marche d' une ellipse, parce que le contraste entre un fond et ses rebords préciserait un plancher haut au troisième encorbellement, comme le vérifierait les entailles creusées en escalier dans la paroi est, à la verticale de la trémie d' accès au boyau, et commençant par l' originale marche d' une banquette. Les cinq blocs d' encorbellements, depuis cette engravure jusqu' au passage vers la chambre Davison, figureraient un escalier, soit, une ellipse diluvienne.

Ce boyau situé au sud du plafond de la grande galerie et dont le plancher serait haut, puisqu' il serait à l' image du couloir horizontal, communique avec la chambre Davison dont l' objet serait la chambre de la reine au plancher descendu. Ainsi, il apparaîtrait une autre ellipse à suivre, puisque celle-ci commencerait par le dénivelé d' un plancher remontant symétriquement au sud, comme une première marche, se poursuivrait par un escalier que les cinq "niveaux" des chambres de décharges du roi évoqueraient, à l' image de la rampe interne, et aboutirait ensuite au comble de la chambre Campbell.

De cette manière et par une libre circulation, pour accéder à ce comble depuis la chambre du roi d' époque "aujourd'hui", il faudrait d' abord y figurer le "mécanisme n°2 actionné", ceci afin que la maquette de Khéops reste imagée (plancher bas du plateau de Gizeh objet), que le sarcophage libère le passage vers l' antichambre, que celle-ci soit dépourvue d' herses et que le plancher du couloir amenant à la grande galerie reste relevé, comme avec ceux de la chambre de la reine.

Il faudrait ensuite se rendre jusqu' au promontoire, en passant par l' antichambre âgée d' "aujourd'hui" désormais, puis d' enjamber l' "ellipse" de la grande galerie pour atteindre la chambre Davison (au dessus de la chambre du roi), à qui irait ainsi l' âge d' "hier", et rejoindre virtuellement enfin, via l' ellipse de la rampe interne accessible depuis la chambre de la reine (images des chambres de décharge), le comble de la chambre Campbell et vérifier alors son âge d' "avant-hier".

Ce raisonnement ne s' appliquerait pas à l' âge de "demain" réel du système allégorique de la grande galerie, parce que la grotte, image de la demi-chambre souterraine est, imposerait un plancher bas à son image de la chambre du roi, dans la maquette de Khéops, et y excluerait donc le "mécanisme n°3 vierge" ainsi que l' âge futur dans la grande galerie. De cette manière et au pire, lorsqu' à l' inverse l' ellipse de la rampe interne n' existerait plus, faute de maquette pour cause de plancher haut dans la chambre du roi, il irait simplement deux âges virtuels quelconques à une chambre Davison quelconque.

La double engravure dans la grande galerie est martelée sur un tiers de sa longueur environ, or, l' ellipse du palier à l' endroit de sa couverture supposée -représentation d' un mécanisme diluvien- possède ce même martelage et identifierait par association, avec l' aide de la niche à cinq étages encorbellés dans la chambre royale, l' ellipse de la grande galerie. Ce que les concordances d' assises remarquées par G. Dormion vérifieraient car, si les sept assises d' encorbellements des "façades" cadrent toutes avec celles du "pignon" sud de la grande galerie, seules celles qui seraient relatives aux quatre encorbellements sur sept à partir de l' engravure, soit l' ellipse, s' accordent rigoureusement avec celles du pignon nord.

Il est étonnant de constater enfin, que les silhouettes du boyau entre le palier et la grotte (image de la chambre de la reine), ainsi que du puits entre celle-ci et la mini chambre souterraine (image de la grande chambre), dessineraient en regardant vers l' est un éclair en forme de "S" (voir chapitre Le dallage du plancher dans la chambre de la reine), comme l' image de la cause céleste du déluge n°1, que la relation "pôle-Terre" d' âge "hier" doublerait et que les puits stigmatiseraient, dans les planchers de ces pièces objets et images (la terre polaire foudroyée "avant-hier" et déplacée vers "hier").

(à suivre...)