(suite)

Vérifications
La dualité confirmerait par des mariages l' arrangement des blocs dans les logements royaux. En outre, elle constaterait leur comptage en parois et en vrac suivant deux hauteurs, que deux coefficients de proportionnalité contrôleraient enfin ("√2" pour "le roi" et "1,1²" pour "la reine"). Deux autres facteurs iraient avec d' autres hauteurs en plancher, comme avec une autre "double ellipse" duale (5÷3 et √2).

Remarques
Pour rappel, une "ellipse diluvienne" serait une figure architecturale verticale qui admettrait un passage (pi÷2rad), par le contournement de l' "accident" d' un dénivelé de planchers (0,525m ou 100,3% de "1c"), entre deux "ères diluviennes horizontales" consécutives. Elle se signalerait sous la forme d' un escalier à cinq marches, dont la première serait réelle et se remarquerait des autres dénivelés (phi²÷5=0,5236m ou "1c"). Une proportion duale de la mesure métrique de la hauteur d' une "ellipse", selon le coefficient de "perpendicularité" en radians (pi÷2 rad), se justifierait pleinement (ex: R=(PI÷2)×55 m).

Un "cycle" bouclerait l' intégralité d' une tribulation, bornée par des "accidents", sur la route d' un "monde diluvien". Parce que la mise en scène du nombre d' or dans Khéops dessinerait quatre arcs de circonférence qui, sur les quatre faces "carrées" du monument, spiraleraient en une ellipse d' or sur la hauteur du côté. Ainsi, aux quatre faces il irait quatre angles droits ou "hauteurs" sur une base égale (pi÷2 ou 3b), ce que les apothèmes évoqueraient en tant qu' hauteur sur une base, et que les dalles périmètriques du plancher de la reine vérifieraient (3b par coin et par côté et 1b=(pi÷6)rad ou "1c").

A un "monde diluvien" il viendrait une face "carrée", comme il irait la Terre à la "surface de sphère" de Khéops (maquette terrestre et spéculation de F. Poisson), les quatre faces se succéderaient le long du périmètre de la base de Khéops, elles imageraient quatre mondes que quatre "accidents" angulaires borneraient, et l' angle droit d' une "hauteur" couperait la "circonférence" de la Grande pyramide par chacun de ces "quarts de cercle" (4×(pi÷2)rad ou 4×3b sur (2×pi)rad ou 12b), ce que le projeté en plancher du plafond du comble de la reine reconnaîtrait.

En effet, parce que la Grande pyramide serait la maquette d' un hémisphère terrestre (échelle "1÷43 200", relation de circonférence entre sa base et sa hauteur, orientation cardinale précise et sa présence sur l' "équateur penché"), et que les spéculations de François Poisson lui attribueraient une sphère, dont le rayon serait égal à la hauteur de ce monument, alors, cette "sphère de Poisson" et sa surface, dont la mesure égale celle du carré de la base de Khéops ainsi équivalent, imageraient respectivement les objets de notre Terre et de sa croûte superficielle.

Autrement dit, une rangée de quatre blocs symboliserait une circonférence: tantôt par les quatre côtés du périmètre d' un carré (4b pour 4 côtés), comme avec l' "équateur" de la base de Khéops qui modéliserait la Terre d' âge "aujourd'hui" (une ère diluvienne), tantôt par ceux des quatre "carré-mondes" de ses quatre faces (4b et 1b="un carré"), comme circonscrivant les quatre arcs d' or qui encercleraient le "rayon polaire" du monument (4b et 1b=(pi÷2) rad). Une "ère diluvienne" ferait sa révolution (12b et 1b=(pi÷6)rad ou "1c"), dont quatre diviseraient un zodiaque de précession (12b et 1b: un signe zodiacal).


Rotations terrestres(sens de précession à inverser)

Puisqu' aux neuf poutres des plafonds des chambres du roi il irait une triple "révolution diluvienne", qu' une rangée de huit poutres s' unirait avec une rangée de huit blocs, comme celles de neuf, que cette dernière aussi se diviserait en deux rangées de quatre blocs, qui évoqueraient une petite ou une grande circonférence "cataclysmique", alors et par association, les huit poutres des plafonds ou les huit blocs en façade, symboliseraient les deux roues du "grand-bi de la destruction" (une grande roue "cataclysmique" compterait trois petites roues "accidentelles", soit deux circonférences en "nature").

Le pyramidion trouvé en bas de la pyramide rouge, par R. Stadelmann sur le site de Dachour sud, est une maquette de Khéops par son angle de pente, donc et selon cette information partagée, sa hauteur métrique unitaire induit une valeur périmètrique de douze coudées (2×pi×1=12×0,5236m et 1c mesure 0,5236m), suivant leur mesure et leur image d' une relation de circonférence (P=2×PI×H). Un côté de mesure "3c" s' associe avec la valeur d' un quart de tour, avec un côté de la Grande pyramide et avec un angle droit ("pi÷2" en radians), et la hauteur unitaire irait avec le "rayon polaire" de Khéops (sud ou nord).

Les dalles périphériques dans la chambre de la reine matérialiseraient la bande des douze constellations du zodiaque (12b et 1b=1signe), une dualité se vérifierait ainsi avec celles du local du roi, à condition de réarranger ces dalles en trois bandes de double largeur: où douze blocs sont au périmètre de huit "plinthes" centrées, pour une "double ellipse" restante. Parce que ces deux maisons modéliseraient le monument, leurs planchers "carrés" et bas donneraient le périmètre "zodiacal" de la Grande pyramide qui, réciproquement et en fonction d' une hauteur, attribuerait la circonférence à ces dallages.

Il est étonnant de vérifier, que le "rayon polaire" sud depuis le "centre de la Terre" de "la reine" décrirait, selon l' "ellipse" de la rampe interne, quatre tours périmètriques sur la hauteur du monument et dans le sens de rotation de précession visible dans l' hémisphère sud céleste; complémentairement, ce "rayon" décrirait un "équateur" en gravitant autour de son axe, en base et dans le même sens de giration que celui de l' hémisphère sud terrestre (R=H).

Parce que les "ères diluviennes" du Lion et du Verseau se définiraient, s' identifieraient et débuteraient par leur propre signe zodiacal, celle d' "aujourd'hui" s' appellerait par analogie et par défaut: l' "ère diluvienne" du Taureau. Dans ce chapitre des Chronologies diluviennes, il se compteraient trois ères zodiacales dans une "ère diluvienne" (3b: un monde diluvien et 1b: un signe du zodiaque), dont quatre de ces dernières boucleraient un zodiaque.

Alpha Tauri est visiblement la treizième étoile la plus brillante du ciel nocturne, et de toutes celles qui composent la constellation du Taureau c' est elle, Aldébaran, la plus intense. Dans l' anatomie de l' animal, cette géante rouge-orangée figure son œil droit. L' image opposée de la constellation d' Orion, dont Rigel la bleue est la sixième en magnitude apparente, affronte dans ce firmament telle un chasseur aux aguets, l' ombre du Taureau.





Compter jusqu' à quatre avec Feist (1, 2, 3, 4)