Dans l' hypothèse où le plancher de la chambre de la reine représenterait le schéma astronomique du plan de écliptique, d' une part et sachant que le zodiaque n' est rien d' autre, astronomiquement parlant, que ce même écliptique divisé en "n" secteurs angulaires centrés sur le Soleil et au delà desquels les constellations arbitrairement associées sont projettées sur la sphère céleste d' autre part, alors, il serait possible d' apercevoir la représentation de ce zodiaque sur le plancher de cette chambre.

En effet, tout autour du local sont réparties onze "assiettes creuses" qui, associées au trou bouché dans le coin nord-est de la chambre, porteraient le total de ces objets célestes (Mercure, Vénus, points de Lagrange, Soleil, "Vulcain" et la Terre) à douze figures ventilées sur un périmètre dont le centre serait l' image du Soleil, soit un zodiaque à douze constellations (ou signes).

De plus, le sol de cette chambre de la reine est composé de seize dalles de calcaire dont cinq sont centrales, dix sont périmètriques et dont l' absence de la dernière, supposée, est rempli par une "fouille comblée".

Or si ces nombreuse dualités faisaient loi (postulat), obtenues en donnant à ces gravures dans le dallage le sens d' un schéma astronomique particulier, alors, les anomalies relatives aux paire de Terre (ronds en bleu clair sur le dessin Dualités), paire de planètes (ronds gris) et du Soleil ailé (ensemble dans l' angle sud-est dépourvu de lueur à l' est), tous réels, devraient être virtuellement solutionnées par le petit trou rectangulaire au fond du boyau (image de cratère de foudre céleste tombée sur la Terre à l' extrémité d' un demi-anneau de poussière) et par la niche (image d' une lueur zodiacale), à condition que ces "planètes"-"Terre" soient doubles comme correspondant à deux époques diluviennes différentes, par exemple.

Puisque les "assiettes creuses" évoqueraient déjà un zodiaque à douze signes et que la règle de la dualité s' autocorrigerait dans cette mise en scène, alors, il irait de soi que dans la "fouille comblée" il y aurait eu deux blocs de calcaire, deux dalles, ou deux ères "anniversaires" d' un âge diluvien et qu' un nouveau zodiaque à douze constellations s' imposerait. Ce que la disposition de quatre dalles par côté de la chambre vérifierait.

Si le postulat de la dualité était juste, pour que le trou rebouché dans le plancher (image de la Terre) soit dual, il faudrait que le petit trou « rectangulaire » au fond du boyau de la niche (image de la Terre lui aussi) soit muni d' un bouchon ; il vérifierait alors, en tant que pierre tombale, l' allégorie du système antédiluvien puisqu' celui-ci deviendrait l' exacte image de l' objet constitué par la grande galerie, le couloir ascendant et ses trois blocs bouchon.

En outre, apprenant que la niche encorbellée figurerait une lueur zodiacale et qu' elle aurait pour équivalent célèbre celui de la grande galerie, alors, dans la logique d' un écliptique où la chambre du roi camperait la planète « Vulcain », la grande galerie s' épanouirait en une lueur zodiacale et les couloirs ascendant et descendant la prolon-geraient en un demi-anneau de poussière, la chambre souterraine ne pourrait figurer dans cette mise en scène verticale que la planète Terre, et son puits visualiserait alors un cratère d' impact antérieur (puisque réel) à notre monde diluvien.

De tout cela il viendrait que les gravures et les dalles du plancher de la chambre de la reine représenteraient une dualité supplémentaire sous la forme d' un zodiaque double et à douze signes.