PREMIÈRE PARTIE
Ce travail est le supplément à celui de La "théorie du "message d' avertissement". Puisque la dualité aurait servi de règle d' or lors de la conception de la Grande pyramide, il aurait été surprenant d' imaginer ses concepteurs, ne pas l' avoir appliquée à leur propre thème des catastrophes diluviennes.
Ainsi, après la triste hypothèse de l' allégorie diluvienne, extrapolée à partir de la théorie du "mécanisme secret de Philippe Lheureux et de Stéphanie Martin, cet exposé essayera d' éluder le découragement d' une terrible mise en garde, en le complétant par une autre mission: présenter la théorie d' un message d' espérance dans la Grande pyramide, dualité oblige.
Cette antithèse qui sera présentée en deux parties, n' est qu' une supposition argumentée, elle ne reflèterait donc pas une autre réalité que l' architecture intérieure de la pyramide de Khéops, sur le plateau de Gizeh en Egypte.
Sa lecture sera facilitée par celle de sa proposition originale (La théorie du message d' avertissement). Les mesures architecturales, sauf précisions, sont issues des plans de récolement illustrant le livre de Gilles Dormion : La chambre de Chéops.
Cet argumentaire a été authentifié par un copyright, afin de le protéger contre les impostures. Cependant, et afin de lui permettre une libre diffusion, son auteur autorise sa copie, ses traductions éventuelles et sa distribution, gratuitement.
VERS LA TERRE ET AU-DELÀ!
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En reprenant la construction géométrique du plan de l' hypothèse du Message d' avertissement (Le basculement de la Terre accrédité par la pyramide de Khéops), et en fermant cette circonférence dont le rayon correspondrait à celui de la sphère, dont le volume serait équivalent à celui de la Grande pyramide, alors et après ajout de ce nouvel "hémisphère", une "sphère terrestre" d' âge "aujourd'hui" apparaîtrait en entier.
En dessinant une autre "pyramide" (triangle) à l' intérieur, et de volume égal à cet "hémisphère nord" (demi-circonférence inférieure), nous obtenons graphiquement l' objet géométrique d' un "octaèdre" (losange) dont le volume équivaudrait logiquement à celui de la "sphère terrestre".
Toujours selon cette hypothèse et par symétrie avec l' "hémisphère sud" original, les "zones émergeantes" qui sont définies par les intersections entre ces deux "demi-Terre nord" (le triangle et la demi-circonférence), figureraient tantôt des terres équatoriales, et tantôt un pôle nord. Or, contrairement au pôle sud qui se compose d' une calotte glacière posée sur le continent Antarctique, la banquise du pôle nord est un gros glaçon qui flotte sur l' océan Arctique.
De cette anomalie il viendrait, que le sommet "pyramidal" au lieu de "surgir" de l' "océan Arctique" comme une "calotte", devrait géographiquement, physiquement, géométriquement et par défaut, "s' inverser" en direction du "centre de la Terre" par rapport à sa base, à l' image d' une banquise quasi-immergée (90% du volume), donc rentrante.
Remarque
Il est étonnant de constater:
- que les côtés égaux prolongés du triangle isocèle de "Khéops" forment, en interceptant la base de ce sommet "nord" (banquise), un triangle fictif quasi-circonscrit à la circonférence intérieure, évoquant ainsi un "super-hémisphère" d' une "super-Terre" ;
- que la Grande pyramide matérialiserait sur le plateau de Gizeh la partie "aérienne" de la Terre, tandis que l' "anti-Khéops" figurerait sa dualité "souterraine" ;
- que la formule du calcul, donnant le rayon de l' hémisphère équivalent à la pyramide de Khéops, évoquerait bien trois pyramides réelles (Khéops et les deux chambres secrètes supposées) par rapport à une circonférence unitaire (la Terre).''
Conclusion
Est-ce que la Grande pyramide d' Egypte contiendrait deux chambres secrètes, et qu' elle serait leur signification ?